samedi 11 mars 2023

Atomisation Sociale et dématérialisation relationnelle.

 

Atomisation Sociale et dématérialisation relationnelle.

-Notre société de consommation a développée à outrance tout ce qui peut conforter notre bien-être, nos loisirs, attiser nos convoitises, et encourager notre désir de posséder; on peut aisément observer notre attitude consumériste et nos fonctionnements au sein d’une société basées sur le « pouvoir d’achat », qui reste sans doute le principal moteur de notre modèle économique. Soulignons que le besoin de posséder est devenu épidémique, même parmi les plus modestes d’entre nous.

Il en résulte des attitudes qui influencent fortement notre vie relationnelle; individualisme, égocentrisme, nombrilisme, indifférence, etc…

Nous sommes impactés bien sûr par la société consumériste et possessive que nous venons d’évoquer. L’atomisation sociale (nous détaillerons ce mot plus loin) qui résulte de ce modèle de société est également perceptible au sein de nos relations.  

Si on remarque encore peu cette désagrégation relationnelle, pourtant en accélération constante, c’est qu’elle suit parfaitement la courbe des changements de paradigmes sociétaux et relationnels : Certains Pays, comme le Danemark, l’on comprit, et on mit en place des programmes scolaires basé sur l’écologie relationnelle, et ceci dès l’âge de 6 ans. On peut largement faire une comparaison entre nos sociétés actuelles, ou le délitement relationnel devient la norme, et les formes de relations traditionnelles du passé :

Avant les deux guerres mondiales, au sein d’un village, d’un quartier, les habitants se connaissaient tous, fréquentaient généralement les mêmes lieux, la même église; le marché (ou s’effectuait les transactions entre habitants), le lavoir (où les femmes se retrouvaient pour laver le linge), le four à pain, étaient souvent partagés par tous les habitants d’un village. Idem pour le travail aux champs, l’atelier pour ceux qui vivaient en ville, etc.. Il s’agissait de lieux de partages au quotidien ou les liens se tissaient automatiquement, par nécessité, que ce soit au travers les ententes ou les conflits à résoudre.

  De plus, le partage des outils (certains villages ne possédaient qu’un char à bœuf et un four à pain pour tous les habitants, ou un point d’eau potable collectif commun), l’entraide indispensable à la survie, ramenait à un contact social permanent. Sans parler des innombrables fêtes qui rythmaient la vie de nos ancêtres, en plus des enterrements, mariages et autres baptêmes. 

 Cette promiscuité, « subie » souvent conflictuelle, favorisait en tout cas les confrontations entre les membres d’une même communauté humaine. C’est dans ce type d’espace restreint, dans cette intimité sociale que se sont élaborés les échanges humains (au sein du clan, tribu, village, nation, etc.) et ceci depuis la nuit des temps. Or, c’est bien la confrontation avec l’autre qui permet un cheminement exigeant des efforts d’adaptation, de souplesse, de pardon, d’ouverture, de remise en cause personnelle et d’acceptation d’autrui.  Un proverbe de l’antiquité soulignait déjà la dynamique que nous venons d’évoquer : « Le fer aiguise le fer, la confrontation avec autrui affine l’esprit de l’homme. »

Sinon, l’entraide et la survie ne fonctionne pas, ou difficilement. C’est d’ailleurs ce qui arrivait régulièrement ; On ne peut donc pas réduire le passé à une image d’Épinal qui idéaliserait les relations qu’entretenaient entre eux nos ancêtres : ils vivaient de nombreux rapports de force et autres conflits de promiscuité. C’est bien pour cela que nos sociétés actuelles, ou tout est fait pour favoriser l’individualisme, nous donne l’illusion d’un meilleur « confort » relationnel. Il n’en est rien ; De par le passé, le tissu social, bon gré mal gré, était plus étroitement lié que maintenant : Il favorisait en tout cas les choix vitaux entre les divers chemins relationnels que nous pouvons emprunter : acceptation de l’autre ou rejet ; amour ou amertume ; partage ou égoïsme, pardon ou rancœur, respect ou mépris de l’autre, etc.

 S’ouvrir à la différence de l’autre passe par ce chemin de confrontation. Même si ce chemin n’est pas toujours vécu dans la « zone de confort » relationnelle habituelle, tel que nous la cultivons actuellement.

Le progrès nous a permis de vivre indépendamment les uns des autres. Certains besoins communautaires ne sont plus d’actualités. Nous n’avons plus besoin d’autrui pour fonctionner de façon pratique : Pas de lavoir à partager, ni de four à pain, ni de puit collectif, ou autre objet favorisant la mise en commun. Chacun pour soi ; chacun sa machine à laver, son automobile, son portable, son écran « perso »; etc.. Donc pas de partage qui favoriserait l’intensité de nos échanges ! Certes, cela évite bien des disputes et des confrontations, souvent douloureuses. Du coup, les autres ne sont là que pour partager nos rapports sociaux, soigneusement filtrés, que l’on peut modifier à l’envie ( « zappage relationnel »)…

Est-ce que nos relations actuelles possèdent encore suffisamment d’intensité pour prétendre à l’authenticité ? Je ne parle pas de l’habileté relationnelle qui est devenu de plus en plus élaborée, permettant de rendre plus « agréable » nos rapports humains. Habileté relationnelle que nous avons largement tendance à confondre avec la véritable authenticité, celle qui est maintenant évoquée par de nombreux auteurs ( par exemple Thomas d’ Ansembourg). 

La différence avec les modes de partage vécu par nos ancêtres et notre modèle sociétal consumériste en dit long sur la distance parcourue.  L’intensité de l’implication communautaire, tel qu’elle était vécue il y a encore un peu plus d’un siècle, a tout simplement disparue.  Et cette distanciation ne fait que s’accentuer avec le temps qui passe, sans que nous en ayons une perception précise.

L’individualisme et la sécularisation de nos sociétés post-modernes sont passés par là. Rajoutons à cela que le stress, l’activisme, l’obligation d’être compétent et efficaces dans ce que nous entreprenons, le regard critique de notre entourage, nous contraints encore un peu plus à vivre distanciés les uns des autres. L’anonymat qui résulte de ces faits de société se propage au cœur même de notre vie familiale, professionnelle.. On retrouve cette force d’inertie relationnelle au sein même des sphères institutionnelles, éducatives, politiques, ecclésiales, associatives..etc.

L'atomisation sociale est un terme utilisé pour décrire un phénomène où les individus sont de plus en plus isolés les uns des autres et où les liens sociaux se désagrègent rapidement. Elle se produit aussi bien au sein des relations individuelles qu’aux niveaux des relations collectives. La sociologie la définie comme tel : « l’atomisation sociale  est souvent associée à l'urbanisation, à la croissance des médias et à l'individualisme croissant. Les effets de l'atomisation sociale peuvent inclure une augmentation de la solitude, de l'anxiété et de la dépression, ainsi qu'une diminution de la confiance en soi et de la participation citoyenne. Les conséquences négatives sur les individus se répercutent sur la société dans son ensemble. »

(sources : 2e année d’étude en master de sociologie du numérique)

Bien sûr, on ne peut dissocier ce phénomène de celui de la dématérialisation relationnelle, notion qui commence à être évoquée :

 «La dématérialisation relationnelle se réfère à la tendance à remplacer les interactions sociales en face à face et les relations humaines traditionnelles par des interactions en ligne ou numériques, comme la communication par courrier électronique, les réseaux sociaux, les messageries instantanées et les appels vidéos. Si cette tendance  facilite  les contacts à distance, elle peut avoir des conséquences délétères, telles que l’altération du contact social, la perte de la proximité humaine, et la désintégration relationnelle.

Cette dématérialisation relationnelle se concrétise via nos interactions numériques (réseaux sociaux, messageries électroniques, appels vidéos, etc…). Cette façon de séquencer et de « filtrer » nos relations via internet va également impacter ce qui restent de nos liens sociaux « traditionnels » ; ceux-ci se désagrègent de façon significative, élargissant un peu plus le gouffre relationnel qui nous sépare les uns des autres. Au fur et à mesure de ce processus, nos dysfonctionnements relationnels, non conscientisés par une saine confrontation, s’intensifie de façon significative. La « pollution » invisible qui s’en suit  nous mène directement dans des impasses relationnelles dont il est, là aussi, difficile de prendre la mesure.

 Les réseaux sociaux de notre post-modernité commune illustrent parfaitement ce désir illusoire de vouloir « communiquer » tout azimut les uns avec les autres, mais en évitant toute forme d’engagement contraignant. Nous fréquentons ceux qui nous apportent du « bien-être », et nous ignorons / zappons tout bonnement les autres, ceux qui nous irritent, ou qui nous sont indifférents, ceux-là même qui pourrait justement remettre en cause notre zone de confort relationnelle.

Il est à craindre que la distanciation sociale soit bien plus avancée qu’on ne le pense ; le tissu social « traditionnel », tel qu’il s’est construit jusqu’ici, se désintègre littéralement sous nos pieds. Il est difficile de rafistoler des valeurs communes qui se désagrègent au fur et à mesure qu’on essaie de les tisser ensemble.. on n’en a d’ailleurs « plus le temps » ! ; le « filtrage » relationnel, et nos centaines ( !) d’amis facebook nous illusionnent quant à la teneur de ce type de dématérialisation relationnelle.

 Il s’agit donc de prendre la mesure de ce vide communautaire qui s’insinue dans nos vies, et de créer de véritables espaces de parole, des groupes de partage capable de (re)créer les conditions d’une relation à « cœur ouvert », en présentiel, pour se confronter au regard et à la présence des autres. C'est là un des buts que poursuit la Ligue Vie & Santé depuis plusieurs décennies, au travers de ses ateliers d'écologie relationnelle, et de ses  "marelles" de partage.  

 

samedi 4 mars 2023

Sémantique générale

 Selon Alfred Korzybski, créateur de la sémantique générale, c’est tout notre héritage culturel (gréco-romain) qui est en quelque sorte sous l’emprise de certains modes de pensées hérités de ce que l'on nomme la "pensée Aristotélicienne" qui conditionne entre autre notre vie relationnelle. 

 Les « lois de la pensée Aristotélicienne », codifiées par Aristote aux environs de 350 av. J.-C. ont bien sûr révolutionné en leurs temps, et pour de nombreux siècles, nos façon de communiquer et de concevoir le monde qui nous entoure. Aristote, ainsi que les autres fondateurs de la pensée grecque ont, dès l’antiquité, posé les bases de la civilisation, au point que l’on nommait « barbare » les peuples qui ne partageaient pas (encore) les fondements de la civilisation Grecque.

 Au fil des siècles, cette façon de concevoir la pensée, ainsi que les échanges relationnels qui en découlent, c’est progressivement fossilisée dans la structure des langages occidentaux, au point d'en empêcher la nécessaire évolution au sein de nombreux domaines : l’éducation, les structures sociales, sociétales, politiques, et bien sûr dans ce qui nous intéresse ici : la façon dont nous communiquons entre nous. En effet, les processus relationnels qui découle de la pensée Aristotélicienne (par ex. syllogisme, non contradiction, tiers exclu, dialectique,  etc...) sont soigneusement analysé par Alfred Korzybski;  de ces processus de pensée découlent finalement les modes de communication que nous utilisons couramment ; convaincre, comparer, persuader, juger, exiger, dénigrer, évaluer, ironiser, réfuter, caricaturer, etc...

 Ce besoin  d'emprise, pour convaincre / persuader les autres de son point de vue, est largement utilisé par les hommes politiques, influenceurs,syndicalistes, évangélistes, journalistes, etc...tout comme nous l'utilisons au quotidien au sein de nos relations. 

Ces quelques remarques ne peuvent à elles seules résumer toutes les nuances de la sémantique générale; je vous invite donc à consulter le site qui détaille la pensée d' Alfred Korzibski :

https://inventin.lautre.net/livres/Semantique-generale-Korzybski.pdf

  « la carte n’est pas le territoire ». Cette image célèbre, développée à partir des années 1930 par Alfred Korzybski, qui résumait en grande partie les fondements de la sémantique générale, illustre un de nos biais cognitif les plus récurent, celui de prendre la carte pour la réalité, alors qu’elle n’est qu’une représentation d’un territoire donné. Voyons l’explication :

La sémantique générale a mis en parallèle la cartographie géographique avec les façons de nous diriger mentalement à travers les innombrables détours de notre univers psychique, que celui çi soit individuel ou bien collectif. Puisque qu’il est bien établi que les cartes géographiques nous sont indispensables, nous pouvons également affirmer que nos « cartes du monde » mentales, sont tout aussi indispensables pour nous « déplacer » et nous repérer à travers les méandres de nos perceptions, de nos pensées, de nos croyances, sentiments et autres émotions .

 En bref, nous ne pourrions pas vivre sans nos « cartes du monde », même si nous savons qu’elles sont limitées, souvent erronées, et soumises aux aléas du changement et du temps. 

Vouloir nous identifier à tout pris avec elle, ou de penser que notre carte du monde, (individuelle ou collective), est le monde, risque de nous mener dans de nombreuses impasses. La carte, aussi fiable soit-elle, « représente » le territoire, mais n’est pas le territoire. Ce qui nous amène à bien différencier les deux, sans toutefois renoncer à nos représentations mentales, qui nous sont également nécessaire au niveau collectifs, et nous permettent de cheminer ensemble, de partager par exemple certains concepts universels.


jeudi 2 mars 2023

Groupes Balints élargis et Supervisions Vie & Santé.

 La Ligue vie & Santé vous propose de participer, à un groupe de partage « Balint élargi ».

Elle propose également une supervision pour les professionnels de santé et de l’accompagnement.

 Les groupes de partages « Balint », originellement crées dans les années 60 en direction des médecins, évoluent maintenant vers d’autres profils de personnes. Ce type de groupes peut donc s’adresser aux (futurs) professionnels (et étudiants) concernés par les activités suivantes ;

- Toutes les formes de soin, d’écoute et de soutient prodigués à autrui, (médical, paramédical, psychologique, thérapeutique, confessionnel, etc…), 

- les diverses formes d’accompagnements à la personne,

- Les diverses formes d’enseignement et d’animation, proposées auprès du grand public.

Sont donc concernés un grand nombres de personnes : Professionnels de santé, (Médecins, Infirmières, etc…), éducateur(trice)s, psychothérapeutes, Pairs-aidants (Peer supporters), coachs, enseignant(e)s, assistantes sociales, animateur(trice)s, aumôniers, accompagnateurs, formateurs, prêtres, pasteur-es diététicien(e)s, etc….

La démarche a donc largement évolué depuis les dernières décennies, d’où l’appellation de «groupes Balint élargis ». A l’heure actuelle, ce type de groupe interpelle un nombre grandissant de professionnels ou d’étudiants évoluant dans des pratiques différentes, mais partageant néanmoins certains dénominateurs communs liés à leurs activités professionnelles, activités allant de la médecine, la psychothérapie, jusqu’aux aux techniques de développement personnel en passant par les diverses formes de médecines douces ou autres pratiques dites alternatives.

Les diverses formes de partages, d’échanges, et de pratiques, ainsi que les protocoles relationnels qui cadrent les échanges au sein du groupe génèrent de nombreuses prises de conscience. Prises de conscience qui permettent à chacun d’évoluer plus efficacement dans son domaine propre.

 Les pôles d’intérêts pour les participants à ce type de groupe peuvent donc être multiples ;

    Voici quelques interrogations que l’on peut se poser avant d’intégrer un groupe de ce type :

-        Que représente pour moi la confrontation avec d’autres aidants/soignants/enseignants vivant des démarches très différentes (ou au contraire similaires) de la mienne ?

-        Comment leurs témoignages peuvent-ils optimiser la relation que j’entretiens avec les patients/clients/élèves/ que je soigne/accompagne ?

-        Quelles sont les avantages de partager mes expériences professionnelles avec les autres membres du groupe ?

-        Comment mes zones d’ombres (point aveugle) relationnelles peuvent-elles être éclairées par le « feedback » apporté par les autres participants ?

-        Comment ce feedback du groupe peut-il m’aider à prendre conscience des éventuelles relations d’emprise que je pourrais (sans m’en rendre compte) développer avec mes clients/patients/élèves ? 

-        Quels sont les outils spécifiques à ma pratique que je peux éventuellement apporter à ce  groupe pour l’enrichir ?

-        Quels sont les besoins qui peuvent motiver ma participation à ce type de groupe ?

les animateurs LVS peuvent faciliter la mise en place d’un cadre d’échanges, et favoriser l’évolution des partages au sein du groupe pour lui permettre d’avancer dans des conditions relationnelles optimales, ce qui permet également de mesurer et de renforcer la capacité à poser les justes limites dans les relations..

Ces animateurs mettent spécialement l’accent sur certaines pratiques d’écologie relationnelle(*), protocoles d’échanges indissociable de ce type de démarche, respectueuse des différences et des particularités de chacun.   

Le groupe amène les participants à s’interroger sur leurs priorités, leurs objectifs, et la perception de leurs éventuelles difficultés. L’accent est également mis sur la gestion des émotions et des besoins de chacun.

Les rencontres durent environs 2 heures, suivant la taille du groupe, d’un maximum de 12 personnes.

 La cadence des réunions varient entre deux fois ou une fois par mois, suivant le désir et la disponibilité des participants.

Les réunions se font en ligne (zoom), mais peuvent également, quand le contexte le permet, se faire en présentiels, directement au sein d’une institution, d’une entreprise, d’un établissement scolaire…

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La Ligue Vie et Santé propose également des Supervision Individuelle ou en groupe, auprès des psychologues, psychothérapeutes, également en direction des professionnels de santé, et des personnes dont les activités sont liées à l’accompagnement ou à l’enseignement (assistantes sociales, enseignant-es, animateur(trice)s, formateur(trice)s, Pairs-aidants, aumoniers, prêtres, pasteur-es, etc...

Il s’agit de proposer chez le ou les supervisés un éclairage différents sur la façon dont ils se perçoivent, sur la conscience qu’ils ont d’eux-mêmes, ainsi que de leurs capacités à instaurer des liens authentiques et constructifs avec leurs clients / patients. La Supervision offre la possibilité de prendre conscience des éventuels travers (routine, indifférence, emprise, burnout, etc…)  liés à ce type de professions, pour mobiliser de nouvelles ressources et d’en intégrer les apprentissages.

Les réunions peuvent également se faire en ligne (zoom). Pour une demande au sein d’un établissement ou d’une entreprise (supervision collective ou supervision d’équipe) nous pouvons vous accompagner directement au sein même des Institutions, et des différentes équipes.

Ces interventions permettront :

Une analyse partagée des situations vécues sur le terrain professionnel.

la médiation des éventuels conflits

La mise en conscience des obstacles et des blocages rencontrés.

La mobilisation des ressources possibles en cas de difficultés…(*)

Une meilleure compréhension des logiques institutionnelles, relationnelles, et leurs enjeux systémiques.

Les séances de Supervision d’Équipe ou de régulation d’équipe contribuent activement à la synergie des équipes, à l’accroissement de la qualité des relations et à la cohérence des actions. Elles permettent de faciliter de nouvelles options individuelles, collectives et institutionnelles en vue d’une meilleure qualité relationnelle.                        

Pour inscriptions et renseignements complémentaires, contactez la Ligue vie & santé Nationale :

Lvs.infos@orange.fr


(*) Site à consulter ; https://nospensees.fr/les-competences-therapeutiques-les-plus-importantes-en-psychotherapie/ 

(*) Outils relationnels développés entre autres par les auteurs suivants :

- E. Berne, T. Harris, C. Rogers, A.Maslow, T. Gordon, S. Karpman, J. Luft, H. Ingham,

M. Rosenberg, D. Ofman, J. Salomé, B. Belgrave, etc…


Pour la sémantique générale d' Alfred Korzybski, vous pouvez consulter directement un des meilleurs site sur le sujet : 

https://inventin.lautre.net/livres/Semantique-generale-Korzybski.pdf